La culture de mon cul

"La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres" est une valeur profonde et fragile et un fondement de l'éducation en société mais avec la mauvaise éducation internationale du Net, tout ça c'est du passé... Maintenant, personne ne respecte rien ni personne; c'est la course des philosophes qui pensent en regardant les faux plafonds pour séduire; c'est l'étonnement lorsque le bruit cesse un peu, c'est l'horrible ennui de croire à l'ennui qui vend et se vend bien et n'a rien de nouveau, c'est la culture des riches qui imposent leur pensée aux pauvres quand la pensée elle-même nait d'un jeu douloureux sous les faux plafonds... car le ciel est difficile à voir, bleu ou étoilé, au-dessus de la culture - des hommes - soumise aux ordres des vendeurs, des patrons négriers, de la pègre; oui, le ciel on ne le voit plus, on ne le respire plus car tout a changé. Maintenant, on obéit au numérique, aux machines à détruire les 20% d'espèces vivantes qui restent sur terre ( dans le ciel et la mer il n'y a plus grand-chose ), à la religion du Moyen Âge, à la culture des riches qui pensent que la pensée est l'avenir de la culture des pauvres. Je ne crois pas que tout cela m'intéresse, je préfère lire le dictionnaire et continuer à haïr la discipline communautaire qui détruit tout. Je suis seul et athée et je m'en fous, c'est bien. (la suite dans mon livre qui ne sortira jamais )